L’héritage du théâtre antique
Par Frédéric Duval, École nationale des chartes et Élisa Guadagnini, Cnr-Istituto di Linguistica Computazionale “Antonio Zampolli”
La langue du théâtre médiéval
Par Gabriella Parussa, Sorbonne-université
La Passion d’Arnoul Gréban et Notre-Dame de Paris
Par Véronique Dominguez-Guillaume, université de Picardie et Darwin Smith, université Paris I Panthéon-Sorbonne – CNRS
De la Passion d’Arnoul Gréban à Maître Pierre Pathelin
Par Darwin Smith, université Paris I Panthéon-Sorbonne – CNRS
Le « théâtre médiéval » – art et technique – couvre trois siècles de jeux, mystères, farces, miracles, soties et moralités, qui ont enchanté les villes et les campagnes à la fin du Moyen Âge, dans les auberges, aux carrefours des routes, sur les places publiques aux jours de fête ou de marché, et dans les toutes premières salles de théâtre.
En plus des formes monumentales des mystères qui duraient plusieurs jours, on représente aussi des pièces plus courtes, souvent jouées par les premières troupes professionnelles, héritières des jongleurs et jongleresses, à la fois acteurs, mimes, transformistes, chanteurs et instrumentistes.
Ces trois siècles de production théâtrale (XIIIe-XVe s.) nous ont laissé de véritables chefs-d’œuvre aussi bien pour la pratique dramaturgique que pour la richesse de la langue et la variété des styles, depuis le Jeu d’Adam à Maître Pathelin, de Robin et Marion à la Passion d’Arnoul Gréban.
Journée d’études coordonnée par Pierre-Marie Joris, maître de conférences en littérature médiévale, CESCM et UFR Lettres et langues, université de Poitiers et organisée en partenariat avec le Centre d’études supérieures de civilisation médiévale (CESCM) – UMR 7302, atelier interdisciplinaire du master « Mondes médiévaux ».
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